Poupée et les éditions du Caïman

Poupée : un roman noir doublement sélectionné

Il est des nouvelles qui donnent des ailes à l’écriture. Mon roman Poupée, publié aux Éditions du Caïman, est distingué par deux sélections prestigieuses :

  • Sélection Roman noir Cognac
  • Sélection Noirceur des Pierres Dorées

Deux reconnaissances qui, au-delà de l’honneur personnel, témoignent de la vitalité du roman noir et de la place qu’il occupe dans le paysage littéraire actuel.

Une maison d’édition engagée

L’image récemment diffusée par les Éditions du Caïman illustre parfaitement cette dynamique : cinq couvertures, cinq univers, cinq écritures singulières réunies sous une même bannière.

  • L’inconnu des barricades de Pierre Mazet, sélectionné pour les Prix Lucien Neuwirth et Claude Fauriel 2025.
  • Criminel show de Jérôme Sublon, en lice pour le Prix du Polar normand.
  • Et Poupée, mon roman noir, qui apparaît deux fois, comme pour souligner la force de son ancrage dans le réel et son écho auprès de lecteurs et jurys différents.

Cette mise en avant collective rappelle combien l’édition indépendante joue un rôle essentiel : donner voix à des récits qui interrogent, dérangent parfois, mais toujours éclairent les zones d’ombre de notre société.

Poupée, un roman noir de transmission et de mémoire

Si Poupée a trouvé sa place dans ces sélections, c’est sans doute parce qu’il explore des thèmes universels :

  • la fragilité des liens familiaux,
  • la mémoire des blessures enfouies,
  • la violence sourde qui traverse les existences ordinaires.

Le roman noir, loin d’être un simple divertissement, devient ici un miroir tendu à nos vies, un espace où se mêlent l’intime et le social, le poétique et le brutal.

La reconnaissance des jurys

Être sélectionnée à Cognac, haut lieu du polar et du roman noir, est déjà une fierté. Y ajouter la sélection Noirceur des Pierres Dorées, ancrée dans un territoire auquel je suis profondément attachée, donne à cette double distinction une résonance particulière. C’est comme si deux géographies – l’une nationale, l’autre locale – se répondaient pour dire que l’écriture peut à la fois voyager et rester fidèle à ses racines.

Une aventure collective

Ces sélections ne sont pas seulement celles d’un livre, mais aussi celles d’une aventure partagée :

  • avec mon éditeur, qui a cru en ce texte,
  • avec les lecteurs et lectrices, qui lui donnent vie à chaque page tournée,
  • avec les autres auteurs et autrices du Caïman, qui portent haut les couleurs d’une littérature exigeante et engagée.

Et maintenant…

L’avenir de Poupée se joue dans les mains des jurys, mais aussi dans celles des lectrices et des lecteurs. Quelles que soient les issues, cette double sélection est déjà une victoire : celle de voir un texte exister, circuler, rencontrer.

Je continuerai à accompagner Poupée sur les routes, dans les médiathèques, les librairies, les festivals. Chaque rencontre est une prolongation du livre, une manière de lui donner une seconde vie hors des pages.

✨ Merci à toutes celles et ceux qui soutiennent cette aventure. Que Poupée continue à tracer son chemin, entre ombre et lumière, dans le sillage des voix du roman noir.

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